Ostracodes et aselles : les détritivores aquatiques

Je me disais que ça faisait longtemps qu'on n'était pas allés voir l'inspecteur des impôts (c'est l'époque). En même temps, c'est pas super simple : faut apporter une pelle, une pioche, et en plus on se rappelle jamais exactement où on a enterré le corps. Mais la dernière fois, on voyait bien le squelette. C'est par cette association d'idées que j'en suis venu à me dire que ce serait bien d'illustrer le rôle des détritivores aquatiques en ressortant une photo prise récemment dans un de mes bacs à aselles . Voici donc l'œuvre en question que j'ai choisi d'intituler : "squelette de feuille". C'est comme cela que finissent toutes les feuilles mortes du monde, pour peu qu'elles tombent dans l'eau. Parce qu'il se trouve que les nervures des feuilles sont plus riches en lignine (composant du bois) et que seuls certains champignons savent la décomposer. Comme les champignons sont rares sous l'eau et surtout ceux...