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Affichage des articles du février, 2020

Les aselles, techniciennes de surface de l'aquarium !

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EDIT : prolongation du code promo (voir en bas) Vous le savez : les aselles sont irremplaçables dans un aquarium naturel digne de ce nom. Elles ont toutes les qualités. Elles sont assez grosses, et surtout capables de se cacher, pour échapper à l'appétit des poissons. Elles sont rigolotes à regarder avec leurs pattes qui gigotent tout le temps. Elles sont faciles à multiplier puisqu'il suffit de les laisser faire. Et surtout, inutile de les nourrir, puisqu'elles se nourrissent de tous les déchets qu'on trouve immanquablement dans un aquarium digne de ce nom ! Depuis l'arrivée de Maeva, tout a changé dans ma vie et dans celle d'Aquazolla . Non seulement elle est très organisée et les expéditions d'Aquazolla sont faites avec une rigueur dont j'étais incapable, mais surtout elle est très très bosseuse... J'ai grâce à ça le temps de rien foutre, mais faut pas lui dire. J'ai donc retravaillé sur le phénomène que j'avais décrit

Blackworms et aselles : mais que se disent-ils ?

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Ce n’est un secret pour personne : la plupart de mes aquariums sont désormais sans poisson. Cela me permet d’observer tranquillement mes petits écosystèmes évoluer, de regarder mes merveilleuses bestioles se comporter naturellement sans être exterminées par les prédateurs que sont les poissons. Pas de filtre, pas de technologie, ni chauffage ni pompe d’aucune sorte, juste l’éclairage qui fait de ces petits mondes de jolis points de lumière douce dans mes pièces. Même pas besoin d'une gros volume : quelques litres suffisent ! Et, franchement, je passe autant d’heures à les regarder comme un spectacle que j’en passais avant à regarder mes poissons. Il se passe toujours quelque chose ! J’ai juste déposé une loupe à côté de chaque aquarium. Parce que, dès que j’aperçois quelque chose de nouveau, je ne peux résister à l’envie d’aller voir au plus près, comme si j’étais une daphnie immergée au milieu du décor… J’assiste en ce moment à un comportement de mes blackworms

La Saint Valentin, l'amour... et la Mauricette

« Pour la Saint Valentin, offrez-lui une plante qui lui ressemble ! » C’était écrit sur la vitrine du fleuriste, devant un choix hallucinant de plantes vertes. C’est vrai : la saint Valentin, c’est l’occasion de prouver à son amoureux(se) qu’on le (la) connaît bien. J’ai donc choisi, pour Mauricette, une magnifique betterave fourragère. Faut pas lui dire, c’est une surprise. Demain, c’est le grand jour !

Mattier et Aquazolla, sans les mains !

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Bon, les filles, faut regarder les choses en face, on a eu chaud… Comme je vous le disais en septembre, un ananas fourbe, avec la complicité de mon meilleur couteau de cuisine, m’avait conduit aux urgences. Plus de peur que de mal, me disait-on alors. Impressionnant, mais pas de tendon touché. Mais c’était compter sans les microbes. L’hôpital n’a avoué qu’à demi-mots que les affreuses douleurs étaient un p’tit peu de sa faute. Et seulement en décembre, les cons. Je trouvais ça pas normal, aussi, que ça fasse aussi mal, aussi longtemps, et que tout le bras s’y mette, et tout et tout. Le docteur m’a expliqué qu’une saloperie de staphylocoque doré (sa race) avait dû se retrouver sur les outils du chirurgien. Ce sont des choses qui arrivent, qu'il dit. J’ai donc répondu : « Alors, c’est une infection nosocomiale ? » J’ai vu la peur panique dans les yeux du toubib : « Non, pas du tout. C’est juste que vous avez attrapé ce microbe au bloc ! » B